Onne peut pas vivre dans un monde où l’on croit que l’élégance exquise du plumage de la pintade est inutile. Ceci est tout à fait à part. J’ai eu envie de le dire, je l’ai dit. Un roi sans divertissement (1947) Citations de Jean Giono Jean Giono
15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 1010 Notre commune de Chaponost, pas plus que notre communauté de communes, n’est un village gaulois », isolé du monde. Nous sommes dans un monde complexe certes, mais perméable et en interrelation permanente avec l’autre bout de l’agglomération comme avec l’autre bout du monde. Les inondations au Brésil ou les évènements en Tunisie nous préoccupent, c’est normal et dans un sens, c’est heureux. Nous nous tenons informé de la construction du métro ou du projet de grand stade, c’est légitime. La mondialisation comme la métropolisation, nous ne pouvons nous en abstraire. Il ne s’agit ni de les craindre, ni de les souhaiter mais d’en prendre conscience pour faire des choix au niveau qui nous concerne, l’échelon local. Pour moi, c’est celui d’un développement solidaire. Pour ce qui est de l’ouverture au monde, je sais que de nombreux Chaponois s’en préoccupent et je me réjouis de l’implication associative pour la nouvelle édition du festival Vents du monde qui aura lieu en mai prochain. J’espère aussi que nous avancerons cette année dans le projet commun que nous avons avec Lessignano de bagni, d’initier une coopération décentralisée avec une collectivité du sud. En ce qui concerne la métropolisation, deux exemples des problématiques et des choix qui s’offrent à nous. Les transports l’amélioration du 103 que nous finançons donne des premiers résultats encourageants. Pour autant ce service est encore trop peu utilisé en raison de sa faible amplitude horaire, de sa fréquence, de l’insuffisance de l’intermodalité et de l’absence de billettique unique avec le Sytral. Aujourd’hui la majorité des actifs de la commune, l’intégralité des lycéens et des étudiants, travaillent ou étudient sur la métropole lyonnaise. Concevoir un système autarcique ou intéressant des communautés de communes non mitoyennes comme évoqué dernièrement par le Conseil Général, un système où les questions d’intermodalité ou de billettique ne pourront être résolu valablement, ne peut être satisfaisant. Il nous faut proposer un service qui de part sa qualité décide chacun d’entre nous à s’inscrire dans des modes de déplacement écologiquement responsable, à préférer le transport en commun à l’usage individuelle de la voiture. Les entreprises de nos communes ont besoin d’un service de transport de qualité et leur demander de participer au même taux des deux cotés de la CD 42 apparaît légitime. Le protectionnisme, le repliement sur soi n’a jamais apporté la prospérité bien au contraire. Deuxième exemple, la loi sur les territoires je n’évoquerai pas son principal objet, la nomination de conseillers territoriaux sinon pour dire que ce projet politicien ne grandit pas ceux qui l’ont conçu. Mais un autre aspect de la loi me semble plus pertinent. Je veux parler de la création des pôles métropolitains. Ils peuvent constituer pour les territoires qui y adhéreraient une garantie du maintien d’une administration de proximité pour les questions qui en relèvent de l’entretien de la voirie, à l’urbanisme communal en passant par la politique culturelle. Dans le même temps, ils peuvent permettre sur des compétences limitées une optimisation des moyens et une cohérence de actions. Je pense à nouveau à la question des transports collectifs, des grands aménagements ou encore de la recherche ou de l’enseignement supérieur. Un exemple qui nous concerne le contournement de Chaponost que nous défendons avec détermination, avec le soutien de notre député comme de notre président de commune, ce dont je les remercie, est à mon sens un équipement d’agglomération pour faciliter le déplacement des milliers d’habitants des monts du lyonnais qui quotidiennement ont besoin de rejoindre la métropole, qui demain je l’espère le feront via la gare de Chapoonost pour prendre le tram-train. Ne serait-il pas légitime que le financement de ce contournement soit partagé dans le cadre d’un pôle métropolitain? N’ayons pas peur de l’avenir et ne passons pas à côté d’opportunités qui peuvent s’offrir à nous. C’est mon premier vœu pour notre commune, et aussi pour notre communauté de commune. Published by Pierre Menard

p>Est-ce que tu en as assez de vivre dans le regard des autres ou d’avoir constamment peur d’être jugé pour ce que tu fais? Si oui, tu es définitivement à la bonne place. Dans cette série, je te propose des stratégies efficaces pour te détacher de l’opinion des gens et vivre ta viepas celle des autres! Voici le 2e épisode sur le sujet. Allez,

Savoir vivre ensemble pour bâtir le futur Nous ne faisons pas souvent attention aux paroles que nous prononçons. Les mots aux lames tranchantes coupent des liens ténus, creusent des fossés, émoussent des sympathies naissantes et creusent des fossés entre les personnes, les communautés et même quelque fois entre des terroirs. Nos pays sont des constructions artificielles du Colonisateur. La Nation sénégalaise est en construction. Le vivre ensemble sénégalais n’est pas un acqui. Il est chaque jour en construction. Chaque jour qui passe, il intègre des manières de vivre de communautés moins visibles, il gagne ainsi réellement d’avantage de consensus pour être effectivement nôtre vivre ensemble. Notre manière de vivre ensemble, cette synthèse de nos comportements hérités de nos communautés, cette synthèse qui produit un comportement singulier, particulier, identifiable même à l’étranger. Il est notre trésor, un trésor en mutation. Notre pays est riche de sa diversité ethnique, de ses multiples langues, de sa pluralité culturelle, de ses religions révélées avec leurs pléades de déclinaisons, de ses religions traditionnelles, de ses cadres internationalement reconnus, de ses intellectuels contestataires, de ses savants mondialement reconnus, de ses grands hommes politiques dont le nom a fait le tour du monde, etc.. Le Sénégal est à la fois un pays idyllique et un pays de contrastes. Le cousinage, le kal, le ndenɗiraagu, entre de vrais cousins et cousines, entre castes comme entre peuls et forgerons, entre ethnies comme entre joola et sérères, peuls et balantes ou peuls et sérères, etc., participent à la pacification des relations humaines par l’humour et surtout à travers la création d’espaces de paroles libres entre individus et groupes. Le cousinage jette des passerelles de convivialité et construit des relations où tout germe de conflit est étouffé dans l’œuf par l’humour et le sourire, kaf ak rée, une arme absolue qui désarme implacable toute colère. L’école doit participer à asseoir ces valeurs dans une jeunesse fière de ses racines et engagée à conquérir le bien-être et le monde. Ces codes et conventions continueront à fonctionner tant qu’ils ne seront pas déracinés par l’ignorance de nos cultures et de nos traditions, le raz-de-marée implacable des réseaux sociaux et de médias porteurs de cultures exogènes. La situation de notre pays n’est pas mérite une attention particulière face à l’instabilité de l’essentiel des pays qui nous encourent, nous devons agir avec beaucoup de responsabilité, en nous rappelant toujours que le développement se construit dans la paix. La palabre africaine, le dialogue, est un facteur pour bâtir la stabilité. La stabilité se stabilise si elle est construite sur la vérité, la sincérité et la justice. Nous devons donc cultiver un état d’esprit positif, un état d’esprit qui favorise l’émulation. Les périodes de gros risques pour nos pays sont les périodes électorales. Les joutes électorales ne doivent pas s’assimiler à un combat de gladiateurs qui s’achève par la mort du perdant. Nous devons bannir l’état d’esprit qui veut la mort ou la disqualification du concurrent. Nous devons donc être celui qui reconnaît à l’autre ses qualités et ses succès tout en mettant en évidence ses défauts et ses échecs pour justifier sa saine opposition et sa capacité réelle à faire beaucoup mieux. Les paroles haineuses et violentes repoussent plus qu’elles ne créent une saine adhésion à un projet. Nous devons être capables de bâtir un discours d’espoir fondé sur les attentes insatisfaites des populations. La politique peut-elle être un espace de femmes et d’hommes chevaleresques ? Nous sommes à l’époque du bit, du tout ou rien, peut-être, c’est ce qui explique que les politiciens ont désormais cette vision manichéenne de leurs adversaires et des actes qu’ils posent ils sont mauvais et tout ce qu’ils font est mauvais ! Gardons-nous de cette mauvaise culture, ayons à l’esprit que pour construire, il faut réunir le Sénégal. L’unité se construit dans la considération mutuelle à travers la reconnaissance à l’autre de quelques qualités qui lui donnent le courage et l’assurance d’accepter la main tendue. Vive le Sénégal uni, pacifique et prospère ! Dakar, mardi 23 août 2022 Mary Teuw Niane Unchant qui résume le sens de l'envoi de toute célébration : aller nous risquer à vivre ce que nous venons de célébrer, c'est-à-dire le don de la vie pour que vivent les autres. Ecouter, voir et télécharger
Article réservé aux abonnés Devant le Congrès, M. Mitterrand a notamment déclaré " Aujourd'hui, deux grands systèmes, à l'Est et à l'Ouest, continuent de se faire face, tandis que les deux tiers de l'humanité s'efforcent de rompre les enchaînements maléfiques du sous-développement. Dans ce monde, où votre pays joue le rôle majeur, personne - ami ou adversaire - ne peut agir sans tenir compte des États-Unis d'Amérique. Cette puissance confère à vos décisions une importance, une résonance qui donnent la mesure de votre responsabilité dans les affaires de la planète. " La position de la France est claire vous le savez, avec votre pays, comme avec quatorze autres, nous avons constitué l'alliance atlantique. Au sein de cette alliance défensive, la France poursuit sa propre politique de défense, comprise et soutenue par une large majorité de Françaises et de Français. Entre pays libres, une alliance suppose sincérité, franchise, consultation permanente, mais aussi acceptation de points de vue différents. C'est en restant eux-mêmes que les États-Unis et la France se comprennent et se respectent. L'essentiel est que nos deux pays puissent compter l'un sur l'autre. " L'alliance ayant son domaine précis, chacun d'entre nous détermine la nature de ses relations avec les pays de l'Est. Je pense souvent que, sans être l'explication de tout, la géographie détermine l'histoire et que, finalement, celle-ci, pour se faire, doit passer par les mêmes chemins. Regardez la carte de l'Europe et vous verrez où nous sommes, la Russie et la France, voisines de continent, séparées par une distance qui s'amenuise à la vitesse d'un siècle pressé, tandis que les mœurs et les systèmes font semblant de ne plus bouger. Je répète, en toute occasion, que la première garantie de la paix est dans l'équilibre des forces. Voilà pourquoi nous nous montrons si attachés au maintien de cet équilibre dans cette même Europe. Voilà pourquoi, lorsqu'il nous paraît rompu, comme ce fut le cas récemment avec les fusées atomiques à portée intermédiaire, nous mettons tout en œuvre, dans le langage comme dans l'action. Mais, en même temps, restons disponibles. N'ayons pas peur de dialoguer avec l'Union soviétique, dès lors que les bases et les finalités de ces échanges sont nettement et durablement définies. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
N’ayons pas peur de vivre dans l’espérance" ROME, dimanche 4 décembre 2011 (ZENIT.org) – "N’ayons pas peur de vivre dans l’espérance" : c’est l’invitation de Benoît XVI aux francophones pour le temps de préparation à Noël. Le pape invite même à être des "messagers impatients de l’espérance", et à "ne pas s’endormir" mais à se montrer Est-ce que tu en as assez de vivre dans le regard des autres ou d’avoir constamment peur d’être jugé pour ce que tu fais? Si oui, tu es définitivement à la bonne place. Dans cette série, je te propose des stratégies efficaces pour te détacher de l’opinion des gens et vivre ta vie…pas celle des autres! Voici le 2e épisode sur le sujet. Allez, c’est parti!. . .Rejoindre le Club Direction Excellence CDE, visite le l’article complet de cet épisode, simplement vous rendre dans ma section spéciale Podcast» sur mon site web à l’adresse suivante la chaîne Youtube de Direction Excellence toutes questions, suggestions ou commentaires, n’hésitez pas à me contacter directement à l’adresse suivante info . .La 2e stratégie que je souhaite te partager dans cette série, c’est de rester toi-même. Être authentique est une clé tellement importante pour enfin arriver à ne plus se soucier de l’opinion des autres. Plus tu crois en toi et que tu restes toi-même, moins l’opinion des autres n’a d’impact. D’abord, j’aimerais te rappeler que tu es en train de courir ta propre course. Chaque personne sur cette terre a son propre parcours unique qui lui appartient. Je suis en train de faire ma course, tu fais la tienne et on ne devrait pas avoir le temps de s’arrêter pour ce que les autres en ne suis pas en train de dire qu’il faut vivre dans une bulle isolé des autres, j’essaie juste de te faire réaliser que tout le monde est occupé à gagner sa propre course. Même si tu t’imagines le contraire, les autres s’en foutent un peu de ce que tu fais. Ils sont occupés avec leur chemin à parcourir. En général, l’être humain est plutôt centré sur lui-même, donc les gens ne pensent pas autant à toi et tes actions que tu peux te l’imaginer. Alors, tu as tout intérêt à t’écouter et à demeurer toute façon, si tu n’es pas vrai», c’est comme si tu portais un masque en permanence. C’est comme si tu ne montrais jamais ton vrai visage, que tu te cachais derrière un personnage qui n’est pas peur d’être rejeté et pour plaire à tout prix, je le sais qu’il y a des gens qui font ça, qui vont changer leur attitude et leurs préférences selon les gens qu’ils fréquentent. C’est tout l’opposé d’être authentique. En plus, je te dirais les gens sont rapides à cerner une personne qui n’est pas authentique, ça sonne le point le plus important à comprendre ici, c’est que si tu n’es pas authentique, tu vas attirer les mauvaises personnes vers toi. Ce que je veux dire c’est que tu vas attirer des gens qui aiment la personne…que tu n’es pas vraiment. Les gens connectent avec toi avec la façade que tu leur proposes, mais en réalité ce n’est pas vraiment toi. Tu ne peux pas bâtir des relations sincères si tu n’es pas vraiment toi-même, si tu te caches derrière un personnage.

Ilpeut y avoir, parfois, 4-5 ans en + de décalage côté datation, j'ai tendance à être trop en avance sur le déroulé des choses ( images qui se succèdent en accéléré dans le déroulé chronologique ). Depuis 2020, j'ai l'impression de vivre au ralenti la réalisation de ces prévisions, comme lorqu'on a un accident de voiture et que le temps semble ralentir,

La revue Palabra Nueva N'ayons pas peur de la ri chesse ! »Dans son édition de février, le magazine mensuel publié par l'archevêché de La Havane estime que l'émergence de richesses personnelles à Cuba, grâce aux réformes promises par le gouvernement, doit être acceptée. Ledésordre peut être dérangeant au jour le jour, mais il n’est pas pour autant maladif que pour ceux victimes du syndrome de Diogène et on pourra y remédier avec un peu de volonté (et d’huile de coude). Les symptômes du syndrome de Diogène. Il peut arriver que le désordre ambiant ne soit pas une chose passagère, mais bien le signe Le 22 octobre 1978, Jean-Paul II débutait son ministère en prononçant cette exclamation inoubliable, un signe de foi et de courage. Selon le postulateur de sa cause en canonisation, en ces temps de pandémie, ces mots résonnent avec une force nouvelle. Orazio Coclite et Alessandro De Carolis – Cité du Vatican Le monde actuel, blessé par la Covid-19, a perdu une grande partie de ses certitudes. La tentation, ces temps-ci, est de trouver des solutions en ordre dispersé, c'est pourquoi - dès les premières heures de la pandémie, le Pape François a invité la communauté internationale à ne pas se désintégrer, en insistant sur le fait que l’on ne se sauve pas seul, mais ensemble», une considération qui revient dans de nombreux discours même de haut niveau. À un autre moment de l'histoire, la voix d'un autre pape a connu un sort similaire. Il y a 42 ans, le 22 octobre 1978, devant des milliers de visages qui se tournaient vers lui depuis le parvis de la place Saint-Pierre, Jean-Paul II a commencé son pontificat en s'exclamant soudain N'ayez pas peur ! Ouvrez, en effet, grandes les portes au Christ !». Une incitation à se confier à un plus grand pouvoir salvateur», à une époque de murs et de systèmes opposés. Maintenant que le mur à abattre est l'infiniment petit d'un virus, l'appel de Karol Wojtyla résonne intact dans sa pertinence. C'est ce qu'explique à Vatican News le postulateur de la cause de canonisation de saint Jean-Paul II, Mgr Slawomir Oder R. - Me revient à l’esprit une phrase que j’ai trouvée dans ses écrits, qui remonte au tout début de son pontificat, quand il retrace son histoire, il conclut en affirmant Debitor factus sum», Je suis devenu débiteur», et pour moi cela est aussi une clé pour interpréter ce qu’est le phénomène de Jean-Paul II il paie de sa vie la dette d'amour, en particulier qu’il a envers le Christ. Et pour cette raison les mots Ouvrez, ouvrez en grand les portes au Christ» ont une valeur programmatique à cette époque, mais ils restent valables encore aujourd'hui. Tout comme la vie de Jean-Paul II consistait à payer sa dette envers Dieu pour son amour, nous, aujourd'hui, en acceptant son invitation, nous pouvons en quelque sorte faire notre part en payant notre dette vis-à-vis de ce pape et de la période que nous traversons. Si aujourd'hui, même dans le contexte du monde frappé par la pandémie, nous avons recours au Christ, nous pouvons aussi ouvrir nos cœurs et nos esprits, nos consciences -ouvrir les systèmes politiques, économiques, étatiques, culturels, les vastes domaines dans lesquels l'homme agit- au message chrétien. Jean-Paul II a fait preuve d'une grande force quel témoignage nous a-t-il laissé dans sa façon de vivre la maladie ? R. - Je pense qu’il nous reste à tous une image forte, celle qu’il nous a laissée justement à la fin de ses jours, le denier Vendredi Saint. On se souvient de ce tournage pour la télévision de sa participation à son dernier Chemin de croix au Colisée. Il n’était plus présent physiquement parmi les pèlerins, mais dans sa chapelle enserrant la croix de ses mains. Pour lui, la croix était une clé de lecture des douleurs humaines, une clé ouvrait les portes de l’espérance. Jean-Paul II a été un protagoniste de l'histoire. Je ne me souviens pas qui affirme que chacun apporte sa contribution, qui avec une virgule qui avec un chapitre, mais il me semble que celle de Wojtyla vaut plus qu'un livre... Ce ne fait aucun doute. Nous avons été témoins de véritables changements d'époque, ayant certainement des racines très lointaines. L’élection de Jean-Paul II a été un élément, cet homme qui venait d'un pays lointain, de Pologne, au-delà du rideau de fer. Soudain, avec lui, il a fallu prendre conscience de l'existence de l'Europe de l'Est. Mais bien qu'il ait été un protagoniste avec ses mots, ses paroles d’encouragement, il était extrêmement humble. Quand on lui a fait remarquer que c'était lui qui avait fait tomber le communisme, il le niait très clairement. Il disait que c'était l’œuvre de la Divine Providence, qui s’était servi aussi de lui. Jean-Paul II est un homme qui a accompagné tous ces processus historiques par sa prière tout d'abord, mais ensuite par sa parole, par son enseignement, par le témoignage de son courage et par des gestes prophétiques. Jean-Paul II nous a appris à ne pas nous résigner à la médiocrité, mais à vivre la plénitude de notre vie de manière à faire d’elle un véritable chef-d'œuvre. Jean-Paul II dans la Vallée des temples en Sicile en 1993
FAMILLE- J'ai choisi de ne pas avoir d'enfants. J'ai plein de raisons de ne pas en vouloir (et elles ne regardent que moi) mais on me demande sans arrêt de me justifier. Alors voici quelques
Réf. T72 Compositeur Akepsimas Jo Auteur Servel Jean Nbre de Voix 1VE Genre Religieux Afin d'afficher le détail de la partition, vous devez ouvrir un compte ou vous identifier. D'autres partitions sur Sympaphonie 3gwQyo.
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