Aujourdhui, je veux te parler en prioritĂ© de ton immunitĂ©. En naturopathie comme en AyurvĂ©da, on rĂ©pĂšte souvent "Le microbe n'est rien, le terrain est TOUT." Le terrain ou votre constitution c'est l'Ă©tat global de votre corps, des liquides interstitiels (ex la lymphe), de votre capacitĂ© d'homĂ©ostasie, l'Ă©quilibre des Ă©nergies Cher Philippe, pPour votre info, j’ai oubliĂ© de vous dire – car la vĂ©ritĂ© se doit toujours d’ĂȘtre rĂ©tablie en toute circonstance et il semblerait que cette prĂ©cision vous ait Ă©chappĂ© – que Louis Pasteur a eu l’honnĂȘtetĂ©, la dignitĂ© et le courage de se dĂ©dire en dĂ©clarant sur sont lit de mort les paroles suivantes BĂ©champ semble ĂȘtre non pas un concurrent mais un autre chercheur qui ne partageait pas les points de vue de Pasteur. Seulement Ă  quelques heures d’expirer, les officiels n’ont pas pris sa confession pour sĂ©rieuse et le processus lancĂ© par le biologiste battait son plein et il n’était plus question de faire machine arriĂšre avec les enjeux que l’on peut imaginer. VoilĂ  une prĂ©cision que vous ne manquerez pas de classer afin d’incriminer davantage la Grosse Berta mĂ©dicale plutĂŽt que le repenti Pasteur. Cela n’enlĂšve pas les victimes dues aux expĂ©riences de vaccinations que vous Ă©voquiez. Quand on me parle de vaccination, Ă©tant enseignant de yoga, j’avance immĂ©diatement l’idĂ©e que les animaux ne la connaissent pas sauf celles qu’on leur fait subir bien Ă©videmment et j’ajoute que les mĂ©decins semblent ĂȘtre les spĂ©cialistes de la maladie et sont trĂšs loin d’ĂȘtre ceux de la santĂ©. VoilĂ  oĂč se perche l’orgueil des humains qui ne laisse nullement l’organisme faire son travail car de toute Ă©vidence il sait le faire pour peu qu’on ne vienne pas le perturber trois fois par jour en lui imposant des nourritures qui n’en sont pas. Et en cette occasion je prĂ©cise toujours qu’il y a trois façons d’ouvrir la bouche devant une assiette – l’on peut bouffer, l’on peut manger ou l’on peut se nourrir. Le corps en subira les consĂ©quences il peut devenir un dĂ©potoir avec un indiscutable dĂ©pĂŽt de bilan Ă  la clef ou alors un temple. D’ailleurs pour remettre les choses Ă  leur place, il m’est arrivĂ© de faire des grands jeĂ»nes de quarante jours avec une dĂ©lectation sans nom. Et toujours pour le plaisir. Si demain m’était annoncĂ© un cancer ou une sclĂ©rose en plaque ou un Parkinson, je ne manquerai pas d’avoir recours Ă  cette technique fabuleuse que mĂšre-Nature a mis Ă  la disposition des crĂ©atures puisque les animaux malades ou blessĂ©s y ont spontanĂ©ment recours. Il conviendrait de se souvenir que JĂ©sus prĂ©conisait la santĂ© car si l’on retient son ministĂšre comme consacrĂ© aux Ăąmes, cet autre ministĂšre bien moins connu Ă©tait dĂ©volu aux corps; hĂ©las ce cĂŽtĂ©-lĂ  de son vaste et merveilleux enseignement a Ă©tĂ© oubliĂ© et un ouvrage trĂšs passionnant consigne toutes ses intentions-lĂ  et il s’intitule “L’Évangile de la Paix de JĂ©sus Christ selon Saint Jean” Recueil rĂ©digĂ© en slavon et en aramĂ©en, langues contemporaines Ă  notre MaĂźtre Ă  tous. Ouvrage dont deux exemplaires originaux Ă©taient classĂ©s en deux endroits la bibliothĂšque des Habsbourg Ă  Vienne et celle du Vatican. Dans cette derniĂšre, il y a trĂšs certainement beaucoup d’ouvrages “qui prennent la poussiĂšre” et dont on se garderait bien d’en divulguer l’existence tant ils dĂ©rangeraient l’establishment. L’on doit cette parution au travail de l’anglais Edmond SzĂ©kely qui ensuite a Ă©tĂ© traduit par le Dr. Bertholet. Je vous laisse cher ami, et j’attends toujours avec passion vos interventions. Fraternellement Philippe L’article original sur Cliquez sur l’image ou sur le lien au-dessus ! 1 364 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR – Ce contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimĂ©es sont ceux de leurs auteurs et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement mon opinion. articleCogiitoInformationPhilippeJandrokVĂ©ritĂ© Leterrain est tout.'' # Louis_Pasteur #Claude_Bernard Merci au Recteur le l'UEH de m'avoir partagĂ© cette vidĂ©o. # Louis_Pasteur #Claude_Bernard Merci au Recteur le l'UEH de m'avoir partagĂ© cette vidĂ©o.
Vues 1 562 Il y a quelque chose d’absolument stupĂ©fiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! VoilĂ  un homme dont la principale gloire Ă  la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessĂ© et mutilĂ© plus de manifestants que l’ensemble des prĂ©sidents de la RĂ©publique qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se reprĂ©sente Ă  la PrĂ©sidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection rĂ©sulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaĂźtront qu’elle fut rendue possible parce qu’il rĂ©ussit durant son premier mandat Ă  transformer, par touches successives, une dĂ©mocratie en un rĂ©gime autocratique, portant le systĂšme de propagande d’État Ă  un niveau de perfection jamais atteint par ses prĂ©dĂ©cesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquĂ©e reste nĂ©anmoins classique. Elle consiste Ă  A Lobotomiser la population en rĂ©pĂ©tant une information, toujours identique, formatĂ©e et contrĂŽlĂ©e. Elle est reprise en boucle sur les chaĂźnes publiques de radio et de tĂ©lĂ©vision sans oublier les chaĂźnes privĂ©es d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministĂšre de la VĂ©ritĂ© voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le mĂȘme narratif Ă  longueur de journĂ©e. Personne ne peut y Ă©chapper. Bien sĂ»r, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait lĂ  qu’appliquer des mĂ©thodes de lavage des esprits Ă©prouvĂ©es depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait dĂ©jĂ  dans les annĂ©es trente un mensonge rĂ©pĂ©tĂ© 5 fois reste un mensonge, mais rĂ©pĂ©tĂ© 100 devient vĂ©ritĂ© ». B DĂ©velopper des comitĂ©s de censure dĂ©guisĂ©s souvent en comitĂ©s d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommĂ©s. LĂ  encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent Ă  la crĂ©ation dĂšs 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archĂ©type du comitĂ© de censure d’État Ă  la botte du rĂ©gime, son bras armĂ©, chargĂ© d’asservir l’audiovisuel en dĂ©finissant les temps de passage Ă  l’antenne, en infligeant des amendes exorbi­tantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion Ă  tout site qui serait tentĂ© de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non reprĂ©sentatif de la Nation parce qu’élu non dĂ©mocratiquement des lois liberticides visant Ă  bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet Ă  s’autocensurer et Ă  retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journĂ©e sous la menace d’amendes ou d’ĂȘtre privĂ©s du droit de diffusion. La brĂšve liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des mĂ©thodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertĂ©s fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrĂŽle de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du systĂšme de santĂ©, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de rĂ©pression comme l’a montrĂ© la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le rĂ©gime prĂ©serve les apparences d’une dĂ©mocratie puisque des Ă©lections sont organisĂ©es rĂ©guliĂšre­ment 
 sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se rĂ©veiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des annĂ©es le mĂȘme narratif sans rĂ©elle contre information. C’est cela la dĂ©mocrature la majoritĂ© du peuple, lobotomisĂ©e et devenue incapable d’aucun question­nement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisquĂ© le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes
orĂ  ce jour ,il n’en est rien et,Ă  moins que vous ne vouliez vous substituer aux enquĂȘteurs RĂ©pondre Signaler un abus CrusaderF-8 Il y a 1 jour Le 24/08/2022 Ă  16:08
Emma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayEmma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est toutLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de SophieDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de Sophie
RT@JulietteAlpha17: La lecture de ce communiquĂ© est d'utilitĂ© publique. Pour mieux comprendre l'impact sur toute la #Police. Le terrain n'est rien sans l'investigation et l'investigation n'est rien sans le terrain. Nous sommes un Tout. #SauvezLaPJ đŸ’ȘđŸŒ #SauvezLaPJdeCLEMENCEAU #StopReformeDDPN . 25 Aug 2022 20:39:23

ï»żCette citation est souvent utilisĂ©e par les naturopathes pour expliquer une vision de la santĂ© dans laquelle le terrain de l’individu est central pour prĂ©venir de la maladie. Cette phrase est enseignĂ©e dans toutes les Ă©coles de Naturopathie et fait partie des jalons historiques qui ont amenĂ© Ă  la pensĂ©e naturopathique moderne. Mais cette citation ne prĂ©sente-t-elle pas une vision extrĂ©miste qui est bien loin de la rĂ©alitĂ© du vivant et qui va mĂȘme Ă  l’encontre des enjeux d’une santĂ© intĂ©grative ? Un contexte indispensable J’ai rarement vu une citation attribuĂ©e Ă  autant de personnes BĂ©champ, Bernard et mĂȘme Pasteur sur son lit de mort ! Ce joyeux bazar de paternitĂ© rĂ©vĂšle bien les dĂ©rives qui accompagnent cette phrase une utilisation qui Ă©lude le contexte historique et alimente un conflit stĂ©rile entre deux camps, deux visions de la santĂ©. Retournons Ă  la fin du 18e siĂšcle, Antoine BĂ©champ constate dans ses recherches le plĂ©iomorphisme microbien en fonction du contexte, le microbe peut devenir l’expression d’une maladie et non plus sa cause. ProblĂšme, cette constatation vient relativiser la vision monolithique de Pasteur qui considĂšre le microbe comme l’ennemi Ă  abattre car Ă  l’origine de tous les maux. Il n’en fallait pas plus pour lancer une guerre de dogmes. Chaque camp utilise la caricature pour ridiculiser l’autre, les positions se radicalisent et on arrive Ă  cette opposition binaire “microbe est tout” vs. “microbe n’est rien”. BĂ©champ ? Avec un peu de recul, j’estime que cette citation n’illustre pas vraiment la conception de santĂ© initiale de BĂ©champ, qui Ă©tait beaucoup plus modĂ©rĂ©e et subtile. Si BĂ©champ l’a prononcĂ©e, ce serait plutĂŽt sur le coup d’un agacement face aux attaques, du style un tweet rageux. Cette phrase est la relique d’une bagarre stĂ©rile entre deux visions caricaturales qui s’employaient Ă  prendre le dessus l’une sur l’autre. La mĂ©decine pasteurienne a gagnĂ© le combat Ă  l’époque mais depuis, les opposants Ă  cette philosophie n’ont de cesse d’exhumer la citation de BĂ©champ pour critiquer la mĂ©decine conventionnelle. Et si on passait Ă  autre chose ? Un discours totalitaire n’est que vecteur de clivage. Pourtant, les naturopathes diffusent cette citation sans vraiment prendre conscience de sa dimension dogmatique. Ne pensez-vous pas que nous pouvons faire de la sensibilisation sur le terrain sans retomber dans ces travers passĂ©s ? Et puis, les recherches rĂ©centes, notamment sur le microbiote, rendent complĂštement dĂ©suĂšte cette citation. Le microbe virus, bactĂ©rie, champignon fait partie de notre terrain et joue un rĂŽle majeur pour notre immunitĂ©. Il n’est donc pas “rien” mais aussi un alliĂ© indispensable Ă  notre santĂ©, Ă  notre rĂ©sistance aux maladies et tout simplement Ă  notre vie. La naturopathie est d’ailleurs particuliĂšrement vigilante Ă  prĂ©server l’équilibre intestinal et Ă  chouchouter le microbiote. N’est-il pas contradictoire de sensibiliser les gens sur les “bons microbes” qui ont un rĂŽle central dans le travail du terrain et en parallĂšle se rĂ©fĂ©rer Ă  une citation qui assĂšne que le “microbe n’est rien” ? Vers la santĂ© intĂ©grative J’ai pris conscience de cette contradiction en Ă©coutant le Dr Daniel PĂ©noĂ«l qui lors d’une confĂ©rence s’est moquĂ© gentiment des naturopathes et de leur citation prĂ©fĂ©rĂ©e. La dimension binaire de cette phrase est en effet trĂšs loin de la rĂ©alitĂ© de la vie qui est tout en nuances et en subtilitĂ©. Le vivant est dans une recherche permanente d’équilibre en activant de multiples symbioses et interactions entre le milieu intĂ©rieur et l’environnement. Tout ou rien, bien ou mal, cette logique de dualitĂ© n’a pas vraiment cours au sein de notre organisme. Il est donc grand temps d’enterrer dĂ©finitivement cette citation, ou du moins de la relayer aux livres d’Histoire, afin de construire une vision de la santĂ© moins radicale dans laquelle les diffĂ©rentes approches puissent se nourrir et non se combattre, Ă  la maniĂšre de la synergie vertueuse entre les microbes et notre organisme.

ï»ż Le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Antoine BĂ©champ (1816-1908), docteur en science, en mĂ©decine, en chimie et diplĂŽmĂ© en pharmacie. Plus tĂŽt le naturopathe intervient, mieux il peut prĂ©venir l’évolution de ces dĂ©sĂ©quilibres. Et si la maladie est dĂ©jĂ  installĂ©e, la naturopathie constitue un complĂ©ment trĂšs prĂ©cieux de la mĂ©decine conventionnelle, notamment
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Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et com ‎Show Emma Coach Naturo, Ep Le microbe n'est rien, le terrain est tout - Jan 2
"Le microbe n'est rien. Le terrain est tout" Louis Pasteur. Notre terrain, c'est notre terrain et nous avons le pouvoir de l'optimaliser pour favoriser la santĂ© ! Notre corps est notre meilleur ami mais il a ses lois et sa physiologie. En comprenant et en soutenant celles-ci nous favorisons notre santĂ© et sont les piliers de la santĂ© ?De la qualitĂ© de celles-ci dĂ©pend certainement un bon Ă©quilibre. Il y a des choix Ă  faire, et c'est plutĂŽt une bonne nouvelle. Favoriser notre sommeil permet de nous rĂ©gĂ©nĂ©rer, le mouvement au quotidien fait aussi partie de notre piliers de la santĂ© Stanislaw Pytel - Getty ImagesPour Jonas Delvenne, pharmacien spĂ©cialisĂ© en homĂ©opathie Les piliers de la santĂ© sont l'alimentation, le sommeil et le sport ! " Ai-je une alimentation saine, variĂ©e, contient-elle de tout ? Est-ce que je bois une eau de qualitĂ© ? Est-ce que je dors suffisamment ? Est-ce que je fais de l'exercice physique ? " Quand on rĂ©pond Ă  toutes ces questions, on a dĂ©jĂ  rĂ©pondu aux exigences des piliers de la piliers de la santĂ© Marija Jovovic - Getty ImagesNos pensĂ©es sont-elles positives ou pas ? Autre aspect important de notre Ă©tat de santĂ©, la nature de nos pensĂ©es. " GrĂące Ă  ce questionnement de base et des rĂ©ponses qui sont apportĂ©es, on peut rĂ©flĂ©chir Ă  comment amĂ©liorer les choses " poursuit Jonas notre niveau d'Ă©nergieAugmenter notre niveau d'Ă©nergie Maskot - Getty ImagesL'ATP ou AdĂ©nosine Triphosphate, molĂ©cule fabriquĂ©e Ă  l'intĂ©rieur de nos cellules, joue un rĂŽle important. Si on produit plus d'ATP, notre corps devrait mieux fonctionner et donc notre systĂšme immunitaire sera renforcĂ©. Il est alors conseillĂ© de consommer des acides gras insaturĂ©s, plus faciles Ă  brĂ»ler par les cellules, comme par exemple l'huile d'olive ou de colza. Consommons des huiles de bonne qualitĂ©, des omĂ©ga 3, les huiles de poissons gras. Le magnĂ©sium est le minĂ©ral de l'Ă©nergie et permet aussi la production d'ATP. Une bonne respiration profonde pourrait mĂȘme aider Ă  l'Ă©vacuation du dioxyde de cellules ont besoin de nutrimentsLes suggestions pour prendre soin de soi ne manquent pas, l’arsenal naturel nous propose aussi en gemmothĂ©rapie, le cassis ou encore l’églantier pour revitaliser notre organisme. En aromathĂ©rapie, les huiles essentielles comme le laurier noble, le thym, l’écorce de cannelle, le giroflier et la sarriette sont aussi suggĂ©rĂ©s. â–șâ–șâ–ș À lire aussi Coronavirus la "ruĂ©e" vers le ravintsara pose question " Une recherche qui ne peut se faire sans l’avis et le conseil de professionnels de la santĂ© " comme prĂ©cise Jonas Delvenne, pharmacien homĂ©opathe. Soyons attentifs Ă  notre alimentation, notre activitĂ© physique, notre sommeil et notre santĂ© psychologique " pour le reste si besoin, ce sera du cas par cas " prĂ©cise encore Jonas Delvenne. La santĂ©, un capital qui n’est pas dĂ», mais un potentiel Ă  valoriser constamment, car rien n’est dĂ©finitivement acquis. Une crise comme nous en vivons rappelle Ă  chacun combien il est essentiel de rester vigilant et prendre soin de notre humanitĂ© et de notre le mĂȘme sujetArticles recommandĂ©s pour vous
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7/ Pour moi, il y a dans ces thĂ©rapies des thĂ©ories INCOMPATIBLES avec la santĂ© publique et la vaccination. "Le microbe n'est rien, le terrain est tout", les microzymas, toutes ces conneries. La Suisse, en ouvrant la boĂźte de Pandore, tente de mĂ©langer de l'eau avec de l'huile.” Contenu principal Recherche Pied de page Billet de blog 26 nov. 2015 Ce n’est pas facile, toujours le silence se heurte au dĂ©sir de le rompre. On ne va pas trop pas assez en terrasse, alors on lit et voit passer les rĂ©flexions, les analyses. Certaines font vraiment du bien, on finit par entendre des choses. Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. Ce n’est pas facile, toujours le silence se heurte au dĂ©sir de le rompre. On ne va pas trop pas assez en terrasse, alors on lit et voit passer les rĂ©flexions, les analyses. Certaines font vraiment du bien, on finit par entendre des choses. Qu’on assiste Ă  une islamisation de la radicalitĂ© Roy, que les jeunes qui portent une violence comme dans les annĂ©es 70 certains voulaient violemment en dĂ©coudre sont des produits d’époque, ont choisi la marque Da’ech qui proposait la plus grande violence Liogiet, se radicalisent en chambre dans un contexte d’exclusion sociale Khosrokhavar, que le rĂ©cit Da’ech fonctionne auprĂšs de jeunes qui ne font pas groupe, l’endoctrinement est individualisĂ©, parfois il est trĂšs kitch, les garçons en chevaliers et les filles en princesses de chevaliers Salmon. DerriĂšre ce pauvre rĂ©cit il y en a un grand, qui nous fiche des frissons celui de l’apocalypse, de la fin des temps. Nos gosses, quelques-uns de nos gosses sont attirĂ©s par le rĂ©cit catastrophique de la fin des temps, ça nous fiche des frissons. AttirĂ©s par les rĂ©cits de la fin des temps, il n’y a pas que certains de nos gosses. C’est un ressort de fiction sensationnel, la fin des temps. J’ai notĂ© lister et lire les premiers rĂ©cits d’apocalypse. Lire.Certains de nos enfants, nĂ©s en France ou en Belgique de parents nĂ©s au Maghreb ou nĂ©s en France de parents nĂ©s en France et qu’on appelle affreusement de souche », sont plus qu’attirĂ©s par les rĂ©cits de fin du monde qui leur proposent une place, un rĂŽle ils y vont, ils vont y jouer, jusqu’à la mort. Rentrer dans un rĂ©cit, c’est vivre d’imaginaire, c’est ce que nous faisons tous, c’est notre chance et c’est notre plaisir, c’est le partage du sensible » RanciĂšre, je me prends pour - puis trĂšs vite la chance d’empathie devient un poison, je me prends pour un palestinien, pour un arabe sunnite du Moyen-Orient dont l’intervention amĂ©ricaine en Irak a fait un paria Benraad, la fiction prend toute la place, jadis nous Ă©tions deux, moi ici et l’autre lĂ -bas avec qui je communique, dans la peau de qui je peux me dĂ©placer pour sentir avec lui, nous Ă©tions deux et nous naviguions, je tirais de cette expĂ©rience d’imagination plus d’humanitĂ©, de la comprĂ©hension, je mettais en oeuvre des choses concrĂštes, dans le lieu le pays, le quartier oĂč j’étais, puis je suis devenu lui, bien sĂ»r c’est la chronologie en moins, je deviens lui, je suis plus royaliste que le roi, comme toujours, la violence a trouvĂ© son chemin, le chemin me permet de faire d’une pierre plein de coups. Ce coup-lĂ  je suis ailleurs. C’est virtuel d’abord et ça ne l’est plus. Bon sang, combien de rĂ©volte, quel besoin d’actions avant que. Combien de temps passĂ© Ă  tenter de contrĂŽler ses pulsions Ă  se les interdire, Ă  les rendre coupables, Ă  activer un sur-moi plein de haine avant que. Et comme elles font retour, les pulsions, et avec quelle puissance. J’ai notĂ© combien, en France, compte-t-on de radicalisĂ©s ? La population des jeunes de 18 Ă  30 ans, en France, origines des parents confondues, quel chiffre ? J’ai imaginĂ© que la proportion, que je n’ai pas cherchĂ© Ă  Ă©tablir, me semblerait, nous semblerait ridicule. Ce qui ne dĂ©dramatise rien. Puis, juste Ă  la suite, j’ai notĂ© aux grands rassemblements que la COP21 attendait en ses marges, combien de jeunes, engagĂ©s non pas autour d’un dĂ©sir de fin du monde mais au contraire autour de celui de prĂ©server le monde commun qu’ils vivent et veulent vivre, avaient-ils dĂ©cidĂ© de se retrouver ? Comme j’habite en un lieu d’ex frontiĂšre Shenghen et que l’ex frontiĂšre est redevenue frontiĂšre, je fais l’expĂ©rience d’une circulation trĂšs dense d’un cĂŽtĂ© et de l’autre c’est que les contrĂŽles sont de nouveau actifs. Hier soir je rĂ©pondais Ă  la question de mon fils c’est qu’ils cherchent le jeune gars qui s’est Ă©chappĂ© aprĂšs avoir balancĂ© sa ceinture d’explosifs dans la poubelle de Montrouge. Non, me rĂ©pondait notre ami. C’est pour Ă©viter que des mouvements d’extrĂȘme gauche - notre ami a l’ñge de l’extrĂȘme gauche plus que celui de l’ultra-gauche - ne dĂ©barquent Ă  la COP21. C’est un blocage prĂ©vu bien avant les attentats. Au retour, dans la voiture bloquĂ©e dans les embouteillages et aprĂšs que nous avons allumĂ© puis Ă©teint la radio, mon fils a dit quel dommage que les gars qui s’embarquent dans ces violences-lĂ , qui ont tant d’énergie, ne se battent pas contre les multinationales, le capitalisme sauvage, la mort annoncĂ©e de la planĂšte.Que le goĂ»t de la fiction est une chance qui tourne poison, que l’empathie ou la capacitĂ© d’imagination peut parfois, quand on est salement manipulĂ©, donner le pire, ou donner des Ă©tats d’esprit bien tristes, on a du mal Ă  graduer l’horreur, on le voit ailleurs. Dans un village que les vagues ou flots ou flux migratoires n’atteint pas, les craindre pourtant, se sentir envahis - c’est ce qui explique le nombre de votants FN dans les campagnes, les gens qui votent sont pourvus d’imagination, d’un imaginaire qui se contente de ce qu’on lui donne parce qu’on croit qu’il veut cette pauvretĂ©-lĂ , ou parce qu’on croit qu’il ne peut rien recevoir ou comprendre d’autre que cette pauvretĂ©-lĂ .J’ai notĂ© surtout ne commence pas Ă  faire la liste de toutes les raisons pour lesquelles les mĂ©dia nous vendent comme ils le font le FN, depuis, je dirais, une vingtaine d’annĂ©es. Ne commence pas, parce qu’en fait il n’y a pas de raisons, il n’y a pas une cause, aucun projet lĂ -dedans, on suit un penchant, une pente, sans doute la pente de la facilitĂ©, d’une facilitĂ©. Que la capacitĂ© d’imagination, quand elle rencontre la difficultĂ© Ă  faire groupe, Ă  ĂȘtre avec les autres sans parler des autres-diffĂ©rents, non, mais des autres-camarades, de classe, de boulot, de quartier, que la capacitĂ© d’imagination, quand on est seul, sans lien, dĂ©rape, nous Ă©chappe, nous fasse un peu fous, on le devine. Il est difficile d’ĂȘtre reliĂ©, liĂ© aux autres aux autres-mĂȘmes, aux camarades de classe, de boulot, et aux autres-autres. C’est vrai, c’est difficile. Les centres-villes se vident ouvrent les centres commerciaux et ferment les boutiques, les villages sont habitĂ©s par les nĂ©o-ruraux qui s’occupent de leur jardin et de leur voiture, ne prennent pas les transports en commun car il n’y en a pas souvent et n’attendent pas Ă  la poste parce que le bureau de poste est fermĂ©. J’ai notĂ© ne parle pas de l’école, pas encore du moins parce qu’il faudrait alors faire long, trĂšs long. La capacitĂ© d’imagination, quand elle dĂ©bouche sur des engagements mortifĂšres comme celui de certains de nos gosses en Syrie, comme celui de l’adhĂ©sion aux thĂšses du FN, a dĂ» longuement chercher Ă  se raccrocher Ă  quelque chose, elle avait tant Ă  recevoir et Ă  donner. Tristesse qu’elle n’ait pas rencontrĂ© mieux et attention, ici, prĂ©ciser que zut, elle avait de quoi rencontrer mieux, individuellement on peut toujours rencontrer mieux et on est responsable aussi de qui on rencontre, de quoi on rencontre. Un peu comme dans la vie amoureuse. Tu avais tant Ă  donner et Ă  recevoir que celui ou celle qui est venue pleurer qu’il avait besoin de toi et de toi exclusivement pour respirer, tu n’y as pas rĂ©sistĂ© et tu t’es retrouvĂ©e sous l’emprise psychique de quelqu’un que plus tard tu as pu nommer pervers ? Mais ce n’est pas fichu, tu apprends des rencontres et tu la soignes, peu Ă  peu, l’imagination cavaleuse qui fait fi du rĂ©el. Non ? Dans la vie amoureuse tu l’avoueras facilement, ce n’est pas fichu, rien n’est jamais fichu. Est-ce qu’on peut dire la mĂȘme chose des engagements qui te mĂšnent sur le terrain d’une guerre de conquĂȘte avec idĂ©ologies dĂ©gueulasses d’exclusion totale et de haine de soi ? Est-ce qu’on peut dire pareil des engagements que tu as pris, seul dans ta chambre, de ces engagements qui te mĂšnent Ă  croire au diable et Ă  le voir devant toi, qui deviens quelque chose comme ça aussi, diable, l’envers du diable, l’autre absolu ? Est-ce que tu peux faire marche arriĂšre et accepter qu’on te fasse d’autres propositions ? Qu’on ouvre un autre chemin Ă  ton besoin de 
 De quoi ? Ton besoin de danger ? Je poursuis la comparaison. Dans le choix amoureux passionnel, ce que tout le monde comprend, tant de rĂ©cits nous en sont proposĂ©s, il est Ă©vident que c’est par un excĂšs de vie de joie, d’enthousiasme, de capacitĂ© Ă  donner et recevoir qu’on peut choisir la mort, du moins l’enfer. Voir ceci ; comment dans les choix dingues de certains de nos gosses, la dĂ©sespĂ©rance ils vont tuer et ils vont mourir va de pair avec un Ă©lan de vie une Ă©nergie incroyable. J’ai notĂ© y revenir.Ce n’est pas facile de ne pas ĂȘtre seul. On parle toujours de lien, de lien social mais non, ça ne va pas de soi, parfois on ne sait pas comment on fait pour ĂȘtre dans un groupe. Il faut ne pas avoir honte, il faut accepter de ne pas tout comprendre, il faut faire le clown, il faut ne pas faire le clown, il faut supporter l’ennui, il faut avoir des choses Ă  dire, il faut penser quelque chose sur chacun des sujets, etc. Pour qui, en rĂ©alitĂ©, est-ce facile, d’ĂȘtre dans un groupe ? Et puis il y a la fin de la journĂ©e, les enfants sont couchĂ©s, il pleut, on a bien le dĂ©sir d’aller Ă  cette rĂ©union, de faire quelque chose avec et pour les autres - on est fatiguĂ©, on ne sait pas s’y prendre. J’ai fui les commentaires d’aprĂšs le 13 novembre. Ceux du quartier, ceux de la rumeur des villes et villages, ceux qu’on lit derriĂšre les articles des journaux. Je les craignais. J’ai choisi ce que je lisais, j’ai fui, volontairement, les terrasses et les rĂ©seaux. Puis le silence et ma surditĂ© ont pris fin ; ils ont pris fin grĂące Ă  une parole d’enfant, une parole d’enfant de 11 ans, une enfant de 6Ăšme, c’était plus fort qu’elle, la parole de l’enfant a jailli en plein cours, hors propos il ne faut pas dire islamistes, Madame. comment il faut dire ?il faut dire terroristes, c’est tout. Parce que dans islamistes on entend islam et c’est dĂ©gueulasse pour l’ la classe, personne ne l’a contredite, pour les enfants ce jour-lĂ , dans cette classe-lĂ , ça avait l’air clair, il y avait terroristes d’un cĂŽtĂ© et l’histoire d’un Dieu, quel qu’il soit, de l’autre cĂŽtĂ©. J’ai Ă©tĂ© Ă©mue, j’ai Ă©tĂ© rassurĂ©e. Bien sĂ»r l’état d’urgence permettait de mettre en place des mesures injustes qui risquaient d’envenimer les choses dans le sens que craignait la petite fille, la confusion, l’amalgame comme on n’arrĂȘtait pas d’entendre le dire plus et plus pour ne pas le craindre et donc ne pas le voir venir, bien sĂ»r les contrĂŽles au faciĂšs on ne pouvait mĂȘme plus les critiquer, bien sĂ»r les villes pouvaient devenir de plus en plus vides et la solitude, avec ses Ă©lans d’imaginations qui ne demandent qu’à galoper, qui galopent dans le vide de la toile, d’endoctrinement en endoctrinement, de plus en plus lourde. Mais j’ai Ă©tĂ© un peu rassurĂ©e. Et je suis sortie de chez moi. J’ai notĂ© le coeur du sujet, le coeur du sujet - mais je ne pouvais pas, j’avais une tristesse de plus, une inavouable, une inaudible, j’y viendrai, allons, allons, tu tournes autour, c’est vraiment, je me disais, ton imagination Ă  toi, galopante, une de solitude, qui ne fait pas autant de mal que d’autres, elle m’a frappĂ©e lĂ , au coeur, au coeur du sujet, vas-y, on verra, je peux pas, pas tout de suite. Je suis sortie de chez moi parce que j’étais invitĂ©e dans un lieu emblĂ©matique, on dira. Un lieu qui a de la gueule, qui nous renvoie Ă  une idĂ©e de l’accueil, de l’hospitalitĂ©, de la culture. Un lieu qui n’a plus rien Ă  prouver parce qu’il a tout prouvĂ©, il a fait, il a Ă©tĂ© au coeur de la pensĂ©e et de la fabrication d’objets bien bons Ă  partager. Un lieu hors solitude, hors de la solitude dont on parlait. Un lieu qu’ont connu les parents de ceux de ma gĂ©nĂ©ration. Puis ceux de ma gĂ©nĂ©ration. Puis ceux de la gĂ©nĂ©ration d’aprĂšs. Il compte encore, ce lieu. Je crois, du moins. Je croyais, du moins. On n’y faisait pas n’importe quoi, aprĂšs les attentats du 13 novembre, on n’y faisait pas n’importe quoi mais ça n’avait aucune sorte de rapport avec les attentats du 13 novembre. C’était dans le cadre du festival Migrants scĂšne, le festival de la Cimade, on allait parler de parcours migratoires, d’accueil des rĂ©fugiĂ©s. On n’avait pas encore entendu le premier ministre sur la question, heureusement ; le festival Ă©tait prĂ©vu de longue date, c’était une belle chose j’étais de plus en plus rassurĂ©e que le dĂ©bat prĂ©vu soit maintenu, en mĂȘme temps il n’y avait aucune raison pour qu’il ne le soit pas, on parlait de personnes fuyant la guerre, celle que mĂšne Da’ech mais pas seulement, on parlait du monde comme il nous est, comme il nous est commun ou pas, comme il nous sera, on Ă©tait Ă  quelques semaines de la COP21 et on parlait des prĂ©sents et des futurs rĂ©fugiĂ©s climatiques, on expliquait les parcours migratoires, on avait le dĂ©sir que les gens prĂ©sents, nombreux, imaginent moins ce qu’on leur donne Ă  imaginer mais imaginent mieux, sachent. Soudain la maĂźtresse du lieu emblĂ©matique, en maĂźtresse emblĂ©matique des lieux, interrompit l’intervention. Nous n’étions que gauchistes Ă  cause du discours de qui on en Ă©tait oĂč on en Ă©tait. On ne pouvait pas faire comme si rien ne s’était passĂ©. On ne pouvait pas faire comme si depuis vingt ans on n’avait pas renoncĂ© Ă  la laĂŻcitĂ©, comme si on n’avait pas cĂ©dĂ© sur le communautarisme. On avait ne pouvait pas faire comme si le problĂšme Ă©tait qu’on ne pouvait pas ne pas manger hallal si on voulait ne pas manger hallal. On ne pouvait plus entendre ce discours de perroquets militants que nous Ă©tions alors que nous Ă©tions attaquĂ©s comme nous l’étions. Bref, la maitresse des lieux Ă©tant la maitresse des lieux et son oeuvre et sa biographie magnifiques comme elles l’étaient, personne ne put vraiment rĂ©pliquer, bien que chacun tenta de le faire. Que le problĂšme n’était pas le communautarisme. Que la laĂŻcitĂ© avait Ă©tĂ© pensĂ©e Ă  un moment de notre histoire et qu’elle pouvait bien ĂȘtre repensĂ©e avec des amĂ©nagements, parce que nous ne vivions pas au XIXĂšme siĂšcle. Que oui, beaucoup de choses sont nĂ©gociables. Que la solitude et l’imagination. Que les jeunes qui ont commis les attentats sont nĂ©s en France et en Belgique. Que nous Ă©tions invitĂ©s Ă  parler de migrations. Que. Etc. J’étais sortie de chez rentrais chez moi, comme aprĂšs un combat de boxe, rouĂ©e de coups. Je n’arrivais plus Ă  traduire Ovide. Je lisais Le chevalier de maison-rouge. Sur la route du retour, j’avais entendu, au hasard d’une conversation amicale, autre chose. Je n’avais pas voulu savoir. Je recommençais, avec la surditĂ©. J’avais entendu d’ailleurs, dans la mĂȘme conversation amicale, les 41% d’intention de vote du FN. Mon fils avait dit alors c’est bizarre, Ă  20% tu pleurais toutes les larmes de ton corps et lĂ  non, tu pleures plus ? J’avais entendu autre chose, je l’avais un peu oubliĂ© parce que je n’osais pas l’entendre pour de bon, je me censurais. C’est revenu. J’avais entendu qu’à l’AssemblĂ©e Nationale, on avait applaudi l’annonce de la mort d’Abdelhamid Abaoud. J’avais entendu des mots forts, fermes, on souhaitait la mort des monstres, des barbares terroristes responsables des 130 morts parisiens. On voulait Ă©radiquer, frapper, se dĂ©barrasser, etc. Bien sĂ»r par la violence verbale on exorcisait l’horreur vĂ©cue, le traumatisme. Le monde qu’on aimait, terrasses, sports, musiques. Nous. Nous-mĂȘmes, notre plus intime, l’intime de ceux qui savent Ă  peu prĂšs mais ce n’est pas si facile ne pas ĂȘtre seuls, trouver le lien, faire du lien, vivre avec les autres proches et les autres-autres, on Ă©tait infiniment choquĂ©s et donc on voulait Ă©radiquer, pas seulement une idĂ©ologie, pas seulement on voulait en finir avec da’esh, on voulait en finir avec l’idĂ©e qu’il y avait de l’humain derriĂšre les jeunes qui prennent les armes et mitraillent de sang froid une foule qui Ă©coute de la musique ou boit un verre en terrasse. On en finissait avec l’humain, on disait monstre, barbare. Il y a plein de façons de sortir quelqu’un de l’humanitĂ©. On peut refuser de voir son corps enterrĂ©. On peut le traquer Ă  mort. On peut lui trancher la tĂȘte. On peut faire exploser son corps, le dĂ©chiqueter. Pour tirer sur les jeunes qui font la fĂȘte il fallait bien qu’Abdelhamid Abaud soit allĂ© loin dans la dĂ©shumanisation de ses victimes et dans la sienne propre, et sans doute imaginait-il trĂšs bien ce qu’il obtint un corps dĂ©composĂ©, qui n’a plus forme de on tient Ă  un fil. On tient chacun Ă  un fil. Si on tombe de l’autre cĂŽtĂ©, parfois dangereusement funambules, peut-on revenir ? Qui le sait ? A-t-on des exemples ? On tient Ă  un fil. Les maniĂšres de revenir Ă  l’humanitĂ©, c’est Ă  dire de retrouver l’équilibre entre toi et moi, l’autre et moi, un imaginaire de bonne distance, existent-elles quand on a basculĂ© ? Je n’en sais rien. Je voudrais savoir. Je me sens concernĂ©e par cette question, infiniment. J’ai notĂ© pourquoi mais pourquoi cette obsession, question devenue principale, alors que, alors que. Si je m’approche d’une rĂ©ponse, elle est intime et comme tout ce qui est si intime elle nous concerne collectivement.De retour chez moi, aprĂšs le silence suivi du dĂ©bat suivi de la violence verbale suivi du silence de nouveau, de retour chez moi, pleurer, pleurer, en cachette. Il y avait un jeune homme en fuite. Il avait Ă©tĂ© loin, il Ă©tait tombĂ© du fil de notre humanitĂ© oĂč nous marchons tous plus ou moins dangereusement, en funambules, il avait basculĂ©. Je pouvais avoir trĂšs peur de lui. Je connaissais, comme tant de monde, des gens qui avaient Ă©chappĂ© Ă  sa folie. Parmi eux, des trĂšs proches. J’avais tremblĂ© une partie de la nuit. Pas tremblĂ© je m’étais dĂ©composĂ©e. J’avais fait une expĂ©rience pas glorieuse rien ne m’intĂ©ressait que de savoir cette nuit-lĂ  si D Ă©tait vivant. J’étais sur un fil, moi aussi. J’avais eu peur et j’aurai encore trĂšs peur de lui et de ceux qui comme lui sont prĂȘts Ă  tout, Ă  regarder une foule comme une foule de morts, dĂ©jĂ . Pourtant je ne savais pas rĂ©pondre Ă  cette question et s’il revenait ? S’il revenait Ă  lui, s’il regrimpait sur ce fil, du cĂŽtĂ© de l’humanitĂ© ? Si je posais la question c’est que, allons, disons-le, c’est incroyablement optimiste, disons mĂȘme qu’il y a quelque chose de presque religieux lĂ -dedans je veux bien, si je posais la question tout en imaginant la traque et comment elle finirait, c’est que je pensais que jamais jamais personne n’est ce qu’il fait, ce qu’il dit, ce qu’il a fait, en tout cas personne personne ne se rĂ©duit Ă  ceci qu’il a fait, a dit, a cru, a pensĂ©. Qu’il y a un quelque chose d’autre et que ce quelque chose d’autre est parfois si loin qu’on n’y croit pas, parfois on peut aller le chercher, parfois c’est tout prĂšs. Je dis que c’est quelque chose que je pensais. En rĂ©alitĂ© c’est plus du cĂŽtĂ© de la croyance. Je l’avais, cette croyance, ok. Mais maintenant ça ne me suffisait pas, je voulais savoir si on peut revenir Ă  soi, retrouver le petit Ă©quilibre d’à peu prĂšs la solitude, la raison, d’à peu prĂšs l’imaginaire, si on peut retrouver un point Ă  peu prĂšs supportable de vie entre soi et les autres - si on peut, comment le peut-on ? Qu’est- ce qui fait qu’on hĂ©site ? Qu’est-ce qui dĂ©clenche le doute ?Le premier doute ? La premiĂšre image ? Qu’est-ce qui fait qu’on hĂ©site au moment mĂȘme du basculement ? C’est une question gĂ©nĂ©rale et elle ne prĂ©sume de rien, pas du tout de ce qu’a pensĂ©, fait, imaginĂ©, voulu ou pas Salah Abelstam. Je pensais qu’on pourrait savoir quelque chose de ça. Je pense qu’on pourra savoir quelque chose de ça. Je pense que c’est infiniment important pour rĂ©agir Ă  ce qui se passe quand certains de nos jeunes, endoctrinĂ©s, tuent d’autres jeunes du mĂȘme Ăąge, de tenter de savoir quelque chose de ça. Important pour comprendre, aprĂšs les phĂ©nomĂšnes d’inhumanitĂ©s dont l’Histoire ne manque pas, ce qui fait qu’on peut, peut-ĂȘtre, revenir Ă  soi. Parce qu’il faut bien qu’on revienne. A condition qu’on ne tue pas Salah Abelstam, Ă  condition qu’il donne Ă  ceux qui le traquent la possibilitĂ© de ne pas le tuer, Ă  condition que ceux qui le traquent soient bien convaincus qu’il n’a pas Ă©tĂ© jugĂ©, pas encore, qu’il n’est pas condamnĂ©, pas encore, on pourra entendre quelqu’un qui s’apprĂȘtait Ă  commettre un acte monstrueux et en savoir plus sur le monstre qu’on est, qu’on est un peu moins, qu’on peut ne plus ĂȘtre. 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