Garantie des accidents de la vie comment être indemnisés La ’Garantie des Accidents de la Vie’’, ou GAV, créée en mai 2000, est une assurance définie par un contrat-type comportant des garanties minimales concernant les accidents garantis, les préjudices indemnisés et le mode d’indemnisation. Pour le reste, les assureurs sont libres de proposer des produits adaptés à leurs clients. – L’âge maximum d’adhésion varie de 65 à 75 ans selon les assureurs. L’âge limite marquant la fin de la garantie varie aussi. – Quels sont les risques couverts ? Tous les contrats assurent les évènements soudains et imprévus, dûs à des causes extérieures, individuels, ou collectifs, mais hors de l’activité professionnelle. Dommages corporels consécutifs à un accident domestique ou à une catastrophe naturelle ; accidents médicaux, chirurgicaux, thérapeutiques, nosocomiaux ; accidents causés par des attentats ou des infractions, par une agression de rue ou d’ailleurs ; tout cela est couvert, mais avec des seuils de gravité. – Par contre, la GAV ne couvre pas les accidents de la route, les accidents de la vie professionnelle ou du trajet domicile-travail ; elle ne couvre pas non plus les accidents dûs à des sports dangereux, dont la liste varie selon les assureurs, ni les activités terroristes ! – Ce contrat GAV, est familial il assure le souscripteur, son conjoint /ou concubin / partenaire PACSE, et ses enfants fiscalement à charge. Aussi, les assureurs proposent des formules adaptées aux différents types de famille. – Avant de souscrire un contrat GAV, vérifiez les garanties que vous avez déjà ; étudiez les risques exclus ; lisez attentivement l’assistance proposée après l’accident par exemple, aide-ménagère, garde d’enfants…. – Le contrat de base ne joue que pour un accident occasionnant une incapacité permanente d’au moins 30%. Mais beaucoup de contrats interviennent dès 10% d’invalidité, voire moins. Ces contrats à seuil bas sont bien préférables, même s’ils sont plus chers. – Quelle sera votre indemnisation ? Elle dépendra de la gravité des séquelles, physiques ou psychologiques ; en cas de décès, elle dépendra de la gravité économique et affective de la perte subie. Elle varie selon l’âge des enfants. L’importance des séquelles est évaluée par un médecin expert ; de même, un médecin expert déterminera le taux d’invalidité subsistant après consolidation. Vous pourrez aussi vous faire assister par un médecin de votre choix. – Quels sont les délais à respecter ? Vous avez cinq jours pour déclarer l’accident à l’assureur par lettre Rec. AR, bien sûr. Certains contrats accordent dix jours, mais mieux vaut ne pas tarder. L’indemnisation est normalement rapide les indemnités sont normalement versées dans de brefs délais, et en tout cas, dans les cinq mois qui suivent le décès ou la consolidation de l’état de santé de l’assuré. – Et si le tiers responsable n’est pas identifié ? L’indemnisation se fera avant la recherche des responsabilités. – Et à l’étranger ? La GAV s’applique non seulement en France métropolitaine et les DOM-TOM, mais aussi à Monaco, en Andorre, dans l’Union Européenne, en Suisse, Islande, Norvège, à Chypre, Malte, San Marin, au Liechtenstein, Vatican, sans limitation de durée pendant la validité du contrat. Dans les autres pays, voyages et séjours ne doivent pas dépasser une durée continue de trois mois. – A quelle assistance avez-vous droit ? Etudiez attentivement les contrats, car les garanties sont plus ou moins larges aide à domicile ; soutien scolaire ; livraison de médicaments à domicile ; transport sanitaire ; frais de recherches en mer ou en montagne ; aide au retour à la vie active ; en cas de décès, transport du corps. La GAV ne fait double emploi ni avec une complémentaire-santé, ni avec les assurances individuelles accidents. En effet, la complémentaire-santé ne prend pas en charge les conséquences durables de l’accident sur la vie de l’assuré et de sa famille. Quant à l’assurance individuelle accidents, elle attribue des indemnités plus faibles et ne permet à la famille que de faire face à des exigences plus ponctuelles. D’où l’utilité, une fois de plus, de ne pas s’arrêter tout de suite au prix, mais, bien étudier l’étendue des garanties offertes. MT/07/2011
Lechoix d’un bon contrat d’assurance garantie accident de la vie. Dans cet article, Me Frédéric Roussel – avocat spécialiste en dommage corporel (cabinet Roussel) – et le Dr Yannick Louis Martin – expliquent pourquoi il est important de souscrire un contrat d’assurance « Garantie accident de la vie » (GAV), comment le choisir UFC-Que Choisir Alès Votre association de défense des consommateurs » ACCUEIL L’ASSOCIATION BENEVOLAT INFOS LOCALES LIENS ACTION UFC QUE CHOISIR FEDERATION ACTUALITES CONSOMMATION SANTE VIE COURANTE SOCIAL JUSTICE CONSEILS et ASTUCES VOTRE RETRAITE VOTRE ARGENT VOTRE VOITURE VOTRE ASSIETTE VOS IMPOTS ASSURANCES RECETTES DE CUISINE ARNAQUES ENERGIE COMMUNICATION CONSTRUCTION Accueil > Argent > Assurance vie Le palmarès des taux de rendement 2020 Argent, Assurance Vie, ASSURANCESAssurance vie Le palmarès des taux de rendement 2020 Les premiers taux de rendement des assurances vie en euros publiés au cours du mois de janvier confirment un nouveau reflux. Les performances varient autour de 1 % en moyenne pour l’année 2020 et plafonnent à 2 % max. Cliquez ici pour lire la suite sur ufcquechoisir 30 janvier 2021 Catégorie Argent, Assurance Vie, ASSURANCES Même catégorie Pouvoir d’achat Déblocage anticipé de l’épargne salariale jusqu’à 10 000 € 7 août 2022 Taxe foncière 2022Attention à la hausse 28 juillet 2022 Assurance emprunteurEnfin, on peut résilier à tout moment ! 2 juin 2022 > Soutenez-nous ! > Soumettre un litige en ligne Nos combats nationaux > Action UFC-Que Choisir - Composés nocifs dans les fournitures scolaires - Les parents démunis pour protéger leurs enfants ! 25 août 2022 Action UFC-Que Choisir - La loi pouvoir d’achat est une coquille vide » - Un flot d’amendements doit empêcher le flop 11 juillet 2022 Action UFC-Que Choisir - Refus de remboursement des fraudes bancaires - L’UFC-Que Choisir dépose plainte contre 12 banques 28 juin 2022 Action UFC-Que Choisir - Boissons alcoolisées - Addictions France et l’UFC-Que Choisir attaquent le marketing malsain des hard seltzers 21 juin 2022 Action UFC-Que Choisir - Back Market - L’UFC-Que Choisir porte plainte pour pratiques commerciales trompeuses 15 juin 2022 Action UFC-Que Choisir - Frais de rejet de prélèvement - La loi pouvoir d’achat doit libérer au moins 1 milliard d’euros pour le budget des consommateurs 07 juin 2022 UFC-Que Choisir Alès 20 Rue du Commandant Audibert30100 ALESTél contact Nous rencontrer Accueil sur RDV Pour nous contacter tel 04 66 52 80 80 les après-midi du lundi au jeudi site contact Antenne de BAGNOLS SUR CEZE à la Maison des associations -95 avenue François MITTERRAND Accueil uniquement sur RDV le premier lundi de chaque mois tel Gardons le contact Pour recevoir notre actualité, indiquez nous votre mail Les instructions pour vous désabonner sont incluses dans chaque message. Mentions légales • Données personnelles • Paramétrer les traceurs • Création WordPress et conçu par UFC - • Copyright © 2022 UFC-Que Choisir Alès Lafabrication de fournitures scolaires est insuffisamment encadrée et des composants potentiellement dangereux se retrouvent dans beaucoup d'entre elles, estime Des progrès restent à faire Publié le 26/08/2022 Si la voiture électrique commence à convaincre une grande majorité des utilisateurs, il reste des freins à lever pour qu’elle se démocratise véritablement. À commencer par une baisse de prix de vente, ensuite par le développement du réseau de bornes de recharge qui reste, selon les résultats de notre enquête auprès de plus de 1 500 lecteurs, un gros point d’insatisfaction. La recharge à domicile plébiscitéePour une écrasante majorité, à 74 %, les électro-automobilistes ayant répondu à notre questionnaire optent pour une recharge à leur domicile. Ils réalisent en moyenne 2,3 recharges par semaine pour un coût estimé à 2,50 € pour 100 km c’est environ 4,8 fois moins que pour un véhicule à essence !Concernant l’installation de recharge, peu ont adapté leur installation à l’usage de la voiture électrique. Ainsi, 41 % d’entre eux rechargent leur voiture sur une prise classique et 33 % utilisent une prise renforcée Green’up. Seuls 26 % ont installé une wallbox permettant de disposer d’une puissance plus élevée. Même l’abonnement à un fournisseur reste assez classique dans 35 % des cas, il est d’une puissance de 9 kVA et 23 % utilisent même une puissance inférieure de 6 kVA. Ils sont seulement 40 % à avoir adapté leur installation en utilisant du 12 kVA pour 22 % et 18 % au-delà 15 à 36 kVA.Les réseaux publics boudésPreuve que la voiture électrique reste vouée à un usage proche du domicile, 80 % des répondants possèdent un second véhicule à moteur thermique et 43 % des possesseurs de voiture électrique n’utilisent jamais les bornes de recharge publiques. 44 % s’y rendent moins d’une fois par semaine alors que seuls 4 % s’y branchent 2 à 5 fois par semaine ils sont 1 % à le faire tous les jours.Quatre types de réseaux prédominent celui des collectivités 36 % ; des grandes surfaces 18 % ; de Tesla 17 % ; et celui de Ionity 12 %. En revanche, l’ordre change en termes de satisfaction globale et c’est le réseau de Tesla qui réalise, de loin, le meilleur score avec 85 %, suivi des grandes surfaces 66 %, du réseau des collectivités 62 % et de Ionity 61 %.Couverture insuffisante et pannes à répétitionL’une des principales raisons à ce désintérêt est le manque de couverture du réseau de bornes 26 % des répondants la trouve très incomplète et 46 % assez incomplète. Seuls 28 % sont satisfaits de la couverture nationale. L’autre grief concerne les pannes des bornes et seulement 25 % n’ont jamais, ou presque, rencontré de soucis. Ils sont en revanche 13 % à connaître régulièrement des soucis 1 fois sur 2, 28 % de temps en temps 1 fois sur 4 et 34 % moins souvent. La panne de la borne elle-même est dans 64 % des cas la source du problème puis, pour 15 %, c’est le badge de recharge qui n’est pas reconnu ou la voiture 3 %. Dommage dans 88 % des cas, le souci n’a pas été résolu sur place. Il leur a donc fallu changer d’emplacement ou trouver une autre nouvelle toutefois, 73 % des utilisateurs disent ne pas attendre pour se brancher. Mais ensuite, la patience est de mise les trois quarts restent connectés plus de 30 min pour recharger leur valse des badgesC’est quasi un incontournable quand on roule en électrique le badge recharge. Et 72 % des répondants en utilisent un. Le plus plébiscité est celui de Chargmap 48 %, suivi de Freshmile 11 % et de New Motion 5 %. En revanche, ceux des constructeurs ne semblent pas séduire la clientèle et si celui de Kia est utilisé dans 3 % des cas, seuls 2 % utilisent celui de Hyundai et 1 % celui de Nissan. À noter que le coût moyen d’un badge est de 15 € à l’achat et de 8,80 € au mois en cas d’abonnement. Reste ensuite la facturation qui affiche des montants très variables et est calculée soit à la minute, soit au kWh Ionity, qui facturait jusque juillet 2022 à la minute, propose désormais une facturation au kWh.Encore des freins à l’achatMalgré le bonus écologique alloué pour l’achat d’un véhicule électrique jusque fin 2022, il est de 6 000 € maximum, selon le coût du modèle, le prix reste le principal frein à l’achat. 64 % des acheteurs le trouvent en effet trop élevé. L’autre source d’inquiétude concerne le réseau de recharge avec comme éléments de crainte la faible densité 49 % et le temps de charge 45 %. Vient ensuite le nombre de modèles électriques neufs assez réduit pour 43 % des répondants. À l’inverse, aucun doute sur la fiabilité d’une voiture électrique qui inquiète seulement 12 % des répondants, ni sur les économies réalisées à l’usage par rapport à un véhicule thermique 12 % également.L’autonomie, un sujet de discordeC’est un sujet qui fâche l’autonomie annoncée par les constructeurs, de 345 km en moyenne, n’est que de 285 km dans la réalité d’après les constats des électro-automobilistes ayant répondu à notre questionnaire. Soit presque 17,5 % de moins ! Mais cet écart moyen est différent selon la catégorie de véhicule. S’il avoisine les 20 % pour les citadines 20,6 % et les routières 19,8 %, il n’est que de 11 % pour les SUV et de 16,5 % pour les compactes. Heureusement, si l’on peut dire, seulement 21 % ont constaté une diminution de cette valeur au fil des ans. Mais, comme le parc de notre panel est assez récent, 49 % n’ont pas d’avis sur cette globaleGlobalement, la satisfaction est bonne avec un score de 8,8/10. Et, dans le détail, les notes sont assez élevées la fiabilité 8,9 ou les coûts d’entretien 9 donnent satisfaction et seule l’autonomie avec seulement 7,5 suscite des jugements plus encore, cela varie selon la catégorie de voiture. La satisfaction globale est de 8,6 pour les citadines et les compactes alors qu’elle grimpe à 9 pour les SUV et même à 9,3 pour les routières. En revanche, au niveau de l’autonomie, c’est la douche froide. Les compactes ne recueillent alors plus que 6,7/10, les citadines 7,1 puis viennent les SUV avec 8,1 et les routières avec 8, l’électrique a réussi à convaincre et 87 % des répondants rachèteraient une voiture électrique. Le protocole de notre enquête satisfaction Un questionnaire de satisfaction a été mis en ligne du 6 au 13 avril 2022. Cette enquête a suscité un niveau d’intérêt record de 99 % et 1 622 automobilistes possédant une voiture électrique ont répondu à nos questions. Seulement 17 % ont acheté leur véhicule d’occasion et pour 82 % des cas il s’agissait de leur premier véhicule électrique. Parmi eux, on trouve 49 % de citadines, 27 % de SUV, 12 % de compactes et 12 % de routières pour un kilométrage moyen parcouru de 12 000 km par an. Les modèles les plus achetés sont la Renault Zoé 28 %, la Tesla Model 3 11 % et la Dacia Spring 6 %. Lire aussi 2 000 km en voiture électrique • Récit de voyage Guide d'achat Voiture électrique Voiture électrique • Où et comment la recharger Voiture hybride rechargeable • Pour en profiter, branchez-la !Cet article date de plus de deux ans. Publié le 27/04/2020 1605 Mis à jour le 27/04/2020 1757 Durée de la vidéo 2 min. FRANCE 2 Article rédigé par Lundi 27 avril, l'association de consommateur demande aux assureurs de répercuter la baisse du trafic routier sur le prix des assurances. En deux mois de confinement, de nombreux Français n'auront pas pris leur voiture, ou à peine, histoire de faire leurs courses une fois de temps à autre. Constatant la baisse des nombres d'automobilistes sur la route et des accidents, l'association de consommateur UFC-Que Choisir demande lundi 27 avril que les > Coronavirus suivez les dernières informations sur l'épidémie dans notre direct "Aujourd'hui, les assurances n'ont mis au pot que 200 millions d'euros sur le Fonds de solidarité. Elles doivent faire plus", réclame l'élu Les Républicains. "Il faut que les assureurs accentuent leur effort de solidarité nationale. C'est important. Ils peuvent le faire parce qu'il y a moins de sinistres par ailleurs. … Je pense qu'ils ont la possibilité de le faire et je leur demande de façon, si j'ose dire, civique". Bruno Retailleau hausse le ton et menace "S'il n'y a pas un geste supplémentaire des assurances, alors il faudra sans doute aller au-delà avec des mesures coercitives." Par ailleurs, le groupe Les Républicains au Sénat travaille "d'arrache-pied depuis des semaines" pour écrire une proposition de loi qui sera déposée "dans quelques jours" afin de permettre rendre possible à l'avenir "une assurance pour les entreprises en perte d'exploitation quand il y a des risques sanitaires". Actuellement, les entreprises ne peuvent pas être assurées contre ce genre de risques. A LIRE AUSSI Prendre l'air sans courir, gérer son allergie aux pollens, aller dans son jardin de copropriété... Nos réponses à vos questions sur le confinement Anxiété, sédentarité, sommeil perturbé... Quels sont les effets du confinement sur notre santé et comment les limiter ? Coronavirus en Algérie la semoule, les spéculateurs et les cyberpoliciers Ouganda à cause du confinement, elle meurt en se rendant à pied à l'hôpital pour accoucher En Ouganda, le président Museveni fait un tuto sport spécial confinement SUJETS ASSOCIÉS Moralisation de la vie politiqueMaladieCoronavirusConfinementPolitiqueSanté" target="_blank" rel="noopener">assureurs remboursent les usagers pour cette période. D'autant que certains assurés ont constaté une augmentation de leurs primes depuis le début du confinement. L'association réclame que les assureurs rétrocèdent à leurs clients les économies réalisées depuis le 17 mars, date de la mise en place des mesures de confinement. Cette somme serait de 2,2 milliards d'euros, selon leur calcul. Cela reviendrait à un remboursement de 50 euros par voiture et de 29 euros par moto. Toujours selon les chiffres de l'UFC-Que Choisir, les accidents corporels sur la route auraient, en effet, baissé de 91 % depuis six semaines.